Aller au contenu principal

Bourse aux fourrages dans la Somme

Avec plus de 800 hectares de terres parties en fumée et une canicule sans précédent, la bourse aux fourrages de la FDSEA et des Jeunes agriculteurs de la Somme est mise en route.

La bourse aux fourrages est une plateforme qui facilite vos recherches en fourrages.
La bourse aux fourrages est une plateforme qui facilite vos recherches en fourrages.
© D. R.

Si vous recherchez de la paille, du foin, des fanes de pois, du maïs ensilage ou que vous en vendez, la bourse est faite pour vous ! Une plateforme  a été mise en place pour mettre en relation les agriculteurs/trices de la Somme sur un même site et faciliter ainsi vos recherches. Avec déjà plus d’une dizaine d’annonces (offre et demande) mises en ligne, la bourse démarre bien. Côté méthode, pour vous inscrire, on vous explique tout.

Vous avez un compte Facebook
La plateforme se situe en effet sur la page Facebook de la FDSEA de la Somme. Connectez-vous sur un compte, accédez à l’adresse située dans l’encadré ci-dessous et postez directement votre annonce en ligne, sans oublier de préciser la nature de la vente ou de la recherche, la quantité et le secteur. Les personnes intéressées vous contacteront directement par message.

Vous n’avez pas accès à Facebook
Contactez directement le standard de la FDSEA de la Somme au
03 22 53 30 31. Nous enregistrerons vos données et publierons l’annonce à votre place. Si celle-ci trouve preneur, nous transmettrons vos coordonnées pour que vous puissiez prendre la main.

Réaction de Marie-Françoise Lepers, secrétaire générale de la FDSEA

Solidarité et pragmatisme

La situation de la semaine dernière a été critique pour les fourrages : elle a levé beaucoup de craintes, et, malgré la pluie, tous ne sont pas levés. En pousse d’herbe, tout ce qui est perdu l’est définitivement, et même avec des hypothèses favorables, les stocks seront amputés. L’ampleur des dégâts est encore plus variable spour les maïs, selon les types de sols, la date de semis, et les températures locales, et nous devons nous préparer à toutes les éventualités. En aucun cas une paille ne remplace un maïs ou un foin, mais il y a encore des ressources disponibles pour adapter les stocks et éventuellement corriger les rations pour l’hiver prochain. Nous avons mis en place une solution simple et directe pour faciliter les mises en relation, tout en reposant sur le lien permanent. Avec deux-mille abonnés à notre page Facebook, et tout autant chez JA, le lien le plus rapide est celui-là. Et pour ceux qui n’ont pas Facebook, nous gardons un numéro de téléphone pour lancer les appels et recueillir les besoins. Cela se fait vite, en direct, car les jours sont comptés. De la solidarité et du pragmatisme, en résumé.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout {nom-site}.

Les plus lus

Chaque année, environ 10 % des fermes du département de la Somme font  l’objet d’un contrôle administratif, ce qui apparait relativement faible selon  l’administration départementale.
«Trop» de contrôles chez les agriculteurs ? La DDTM répond

Lors de la session de la Chambre départementale d’agriculture de la Somme du 19 mars dernier, l’administration départementale…

Présentation des Prim'holstein.
Les vaches Prim’holstein, les stars de la Foire agricole de Montdidier

Le lundi 1er avril avait lieu la traditionnelle Foire agricole de Montdidier, avec de nombreux exposants. Parmi les…

Gros rendement pour la campagne 2023-2024 de collecte des pneus

Au cours de l’hiver, pendant trente jours, 370 exploitations agricoles de la Somme ont participé à la collecte des pneus…

dégâts sanglier approche affût 1er avril
Le tir du sanglier ré-autorisé à partir du 1er avril

La préfecture de la Somme a décidé de prolonger la période de chasse du sanglier dans la Somme sous conditions en modifiant l’…

Quatre kilomètres de haies pour protéger un captage d’eau

En s’associant à un partenaire privé, Christophe Desmis, un agriculteur du Santerre, fait le pari de planter quatre kilomètres…

Le retard pris dans les semis inquiète la CGB comme l’Institut technique de la betterave (ITB) avec un risque «jaunisse»  fort cette année.
Des premiers semis de betteraves sous un ciel nuageux

C’est toujours dans l’attente d’un contingentement des volumes de sucre importé d’Ukraine et de l’autorisation de certaines…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 9.90€/mois
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Action Agricole Picarde
Consultez les versions numériques de l'Action Agricole Picarde et du site, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de l'Action Agricole Picarde