Viandes
Comment Cobevial travaille au bien-vivre de ses adhérents
Pour les responsables de la Cobevial, celle-ci se doit d’avoir un résultat positif et de gagner de l’argent. À la clé, pour les éleveurs, des prix rémunérateurs, la possibilité d’être accompagnés dans le développement de leurs ateliers et des dividendes.
Pour les responsables de la Cobevial, celle-ci se doit d’avoir un résultat positif et de gagner de l’argent. À la clé, pour les éleveurs, des prix rémunérateurs, la possibilité d’être accompagnés dans le développement de leurs ateliers et des dividendes.

Une assemblée générale de la coopérative Cobevial, entre l’état des marchés pour les viandes porcines et bovines et le moment de convivialité, c’est une succession de chiffres plus ou moins vertigineux. En ce qui concerne l’année 2024, l’activité bovine de la coopérative, résumée par son vice-président Jean-Michel Régnier, se traduit par une progression dans tous les segments, «ce qui n’est pas forcément le cas ailleurs», a-t-il précisé. L’augmentation globale du volume d’activité (+7 %) est liée à une augmentation de l’activité «jeunes bovins» (+4 %), des vaches de réforme (+4 %), des génisses (+32 %), mais aussi des bœufs et taureaux (+6,5 %). Pour les responsables de la coopérative, ces résultats sont étroitement liés à sa politique d’accompagnement des éleveurs adhérents.