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De A à E, des sols plus ou moins vivants dans la Somme

Le programme Sols vivants initié en 2018, qui vise à développer l’agriculture régénérative, poursuit son action dans la Somme. Des analyses de sol et des tests bêche sont menés pour donner aux agriculteurs un indicateur clair de la vie de leur sol. Un outil précieux pour améliorer les pratiques.

Ivanoé Koog (à dr.), responsable des campagnes terrain du projet Sols vivants que pilote l’ONG Earthworm, effectue des analyses et tests bêche dans 150 parcelles de la Somme. Bon nombre des agriculteurs sont membres du groupe ACS de Noriap, que pilote Pierre-Antoine Brunel (à g.).
© A. P.

Après un coup de bêche dans le sol, Ivanoé Koog détaille : «une première couche de 8 cm de terre se détache. Il s’agit sûrement des traces d’un déchaumage réalisé il y a plus d’un an, afin d’implanter un couvert. Elle présente des mottes assez grosses, mais qui se délient facilement. On note aussi la présence de vers de terre.» L’expert est responsable des campagnes terrain du projet Sols vivants que pilote l’ONG Earthworm depuis 2018, entre autres  dans la Somme. Il donne à cette première couche de terre, dans une parcelle expérimentale de la coopérative Noriap, à Quevauvillers, une note de 3/5 en termes de vie du sol. 1/5 étant une très bonne structure ; 5/5 étant très mauvais.

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