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Faire le choix d’une unité de petite méthanisation

Christine et Benoît Drouilhet, éleveurs de porcs dans l’Ain, ont fait le choix de créer une unité de petite méthanisation pour valoriser leur lisier. Une installation à l’échelle de l’exploitation.

L’unité de petite méthanisation, qui produit du biogaz, est alimentée 24 heures sur 24 heures par le lisier de porcs à 100 % issu de l’exploitation.
L’unité de petite méthanisation, qui produit du biogaz, est alimentée 24 heures sur 24 heures par le lisier de porcs à 100 % issu de l’exploitation.
© Pierre-Louis Berger


A la tête d’un élevage de 350 truies naisseurs engraisseurs, les associés de la SCEA Robin dans l’Ain, Christine et Benoît Drouilhet, cultivent parallèlement 300 ha de céréales, maïs, blé et orge. Les cultures céréalières sont destinées principalement à l’alimentation des porcs. Motivés par la recherche de plus d’autonomie sur l’élevage, ils ont d’abord cherché l’autosuffisance alimentaire, puis se sont intéressés à la gestion des lisiers de porcs. «On souhaitait valoriser ces lisiers de porcs d’un point de vue agronomique, mais aussi énergétique. On s’est donc orientés vers une unité de petite méthanisation intégrée à notre exploitation, sans co-substrats», explique Benoît Drouilhet...

Au sommaire de l’article :
Un gain de 15 000 €

Viable «économiquement»

Retrouvez l’intégralité de l’article dans votre journal l’Action Agricole Picarde.

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