Aller au contenu principal

La commande de vaccin doit passer par le GDS

Les doses de vaccin achetées par l’Etat vont arriver progressivement dans les centrales d’achat vétérinaires.

© AAP

Elles seront en nombre suffisant pour protéger 8 millions de bovins et deux millions et demi d’ovins et caprins. Les livraisons devant s’étaler sur plusieurs semaines, la priorité a été donnée aux départements de la zone réglementée dont la nouvelle (grande) région est exclue pour l’instant. En pratique, il n’est donc pas possible de garantir que les vaccins seront disponibles avant la sortie des animaux, d’autant que, chez les bovins, deux injections à trois semaines d’intervalle sont requises.
Le vaccin est mis à disposition gratuitement par le relais des vétérinaires qui sont toutefois fondés de facturer certains frais (ordonnances, gestion des stocks, conservation) ; d’autre part, les animaux devant être certifiés vaccinés (export ou autre motif) le seront par le vétérinaire qui facturera ces actes. Forts de ces éléments, les éleveurs désirant vacciner doivent retourner un bon de commande au GDS départemental : pour les petits ruminants, ils ont été transmis en fin d’année (au besoin, appeler le GDS pour obtenir ce bon s’il est égaré ou pas reçu à ce moment-là), pour les bovins, un envoi collectif est en cours (s’adresser au GDS en cas de problème). Il est conseillé d’en avertir également le vétérinaire dans les meilleurs délais.
Il est utile de rappeler que les pertes cliniques peuvent être conséquentes, en particulier chez les petits ruminants et que la période à risque devrait se situer en fin d’été 2016.

Pour toute autre information, contacter le GDS.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout {nom-site}.

Les plus lus

augmentation des taxes sur l'E85 bioéthanol carburant
A partir du 1er janvier 2026, rouler à l’E85 pourrait coûter plus cher

Le projet de loi de finances pour 2026 prévoit une augmentation progressive des taxes sur le Superéthanol-E85. Une mesure…

un éleveur de la Somme au tribunal pour tapage nocturne
Un éleveur samarien au tribunal pour avoir nourri ses vaches trop tôt le matin

L’audition d’un éleveur du Vimeu au tribunal d’Amiens pour "tapage nocturne" ravive la question des conflits entre…

billet d'humeur Europe 1 tapage nocturne Olivier Berthe
Conflit de voisinage à Lignières-en-Vimeu : est-ce en voulant faire justice soi-même qu’on avance ?

Trois matins, quelques vaches nourries à l’aube… et voilà qu’un simple conflit de voisinage devient affaire nationale. Entre…

Clarebout grève des salariés prime frites
Les usines Clarebout tournent encore au ralenti

Les salariés des usines de Nieuwkerke, Waasten, Mouscron et Dunkerque restent mobilisés. La direction et les syndicats n’ont…

Le classement des espèces susceptibles d’occasionner des dégâts repose sur une procédure réglementaire stricte. Dans le cas du corbeau freux, espèce indigène,  il relève du groupe 2, fixé pour trois ans par arrêté ministériel. Le dernier datant du 3 août 2023.
Corvidés : pourquoi les agriculteurs doivent déclarer les dégâts dans la Somme

Sans signalements précis et documentés, le corbeau freux pourrait être retiré de la liste des espèces susceptibles d’…

Chaque année, la Trans’Henson est un spectacle incroyable.
La Trans’Henson, vitrine d’un élevage local en plein essor

Chaque automne, la Trans’Henson attire des milliers de spectateurs. Les centaines de chevaux emblématiques de la Baie de Somme…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 9.90€/mois
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Action Agricole Picarde
Consultez les versions numériques de l'Action Agricole Picarde et du site, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de l'Action Agricole Picarde