Réglementation
La filière piscicole elle aussi en quête de simplification administrative
Pour sensibiliser aux enjeux des contrôles en exploitation, la DDPP (Direction départementale de la protection des populations) organisait un contrôle «à blanc» de la pisciculture d’Airaines, jeudi 11 septembre. L’occasion pour son gérant Florent Miermon de faire part des contraintes, similaires à celles que connaissent l’ensemble des agriculteurs.
Pour sensibiliser aux enjeux des contrôles en exploitation, la DDPP (Direction départementale de la protection des populations) organisait un contrôle «à blanc» de la pisciculture d’Airaines, jeudi 11 septembre. L’occasion pour son gérant Florent Miermon de faire part des contraintes, similaires à celles que connaissent l’ensemble des agriculteurs.


Bien qu’exerçant un métier spécifique, le pisciculteur n’échappe pas à la règle qui vaut pour l’ensemble des agriculteurs : la lourdeur administrative. Ce 11 septembre, la DDPP (Direction départementale de la protection des populations) organisait un contrôle «à blanc» de la pisciculture d’Airaines. «Cette visite est organisée pour que chacun puisse mieux se comprendre. Il s’agit de briser certains malentendus et pouvoir simplifier les procédures qui pèsent sur les pisciculteurs et qui sont chronophages pour l’administration», introduit le préfet de la Somme, Rollon Mouchel-Blaisot. Le gérant de la pisciculture, Florent Miermon, en profitait pour faire part de ses contraintes.