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Aménagement du territoire
Le tracé de la ligne à haute tension entre Amiens et Petit-Caux arrêté

L’instance locale de concertation du projet s’est réunie fin septembre à Woincourt (80) pour arrêter le fuseau «de moindre impact» de la ligne électrique
de 400 000 volts qui reliera les Hauts-de-France à la Normandie. 

Le scénario retenu consiste à créer la nouvelle ligne à 400 000 volts en parallèle de la ligne électrique aérienne à 225 000 volts existante entre les postes d’Argœuves et de Beauchamps, puis à conserver une direction ouest afin de rejoindre le poste de Navarre en s’insérant dans un couloir de lignes haute et très haute tension existantes.
Le scénario retenu consiste à créer la nouvelle ligne à 400 000 volts en parallèle de la ligne électrique aérienne à 225 000 volts existante entre les postes d’Argœuves et de Beauchamps, puis à conserver une direction ouest afin de rejoindre le poste de Navarre en s’insérant dans un couloir de lignes haute et très haute tension existantes.
© RTE

«Le projet de renforcement de l’axe électrique à 400 000 volts Normandie Hauts-de-France vient de franchir une étape déterminante», s’est félicité le préfet de la Somme et préfet coordonnateur du projet, Rollon Mouchel-Blaisot, le 21 septembre. C’est en effet depuis cette date que l’on connait le tracé que doit suivre la ligne à haute tension aérienne à deux circuits de 400 000 volts entre Amiens (80) et Petit-Caux (76). La veille, le 20 septembre, l’instance locale de concertation du projet s’est réunie à Woincourt, entre Le Tréport et Abbeville, pour arrêter le fuseau «de moindre impact». L’instance locale de concertation réunit les élus locaux, des représentants des Chambres consulaires et d’associations. Quant au projet en tant que tel, il prévoit le renforcement de l’axe électrique Normandie/Hauts-de-France et l’implantation d’un nouveau poste électrique en remplacement du poste électrique de Beauchamps. 

 

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