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Les atouts du miscanthus mis en lumière à l’Inrae d’Estrées-Mons

Pour mieux faire connaître l’agriculture au grand public, #agridemain et Make.org ont créé les Journées nationales de l’Agriculture (JNAgri) en 2021. Pour la troisième édition, l’Inrae d’Estrées-Mons présentait son programme de recherche sur le miscanthus le 16 juin.  

Maryse Brancourt-Hulmel et son équipe planchent sur la capacité de la plante à produire de la biomasse, et sur les services écosystémiques qu’elle peut rendre.
Maryse Brancourt-Hulmel et son équipe planchent sur la capacité de la plante à produire de la biomasse, et sur les services écosystémiques qu’elle peut rendre.
© A. P.

Le miscanthus, encore peu cultivé chez nous, présente pourtant des intérêts qui méritent de s’y pencher. «Elle est un modèle d’étude dans notre unité en tant que culture dédiée à la biomasse. Nous nous penchons aussi sur les services écosystémiques qu’elle peut rendre», explique Maryse Brancourt-Hulmel, directrice de recherche sur le sujet à l’Inrae BioEcoAgro d’Estrées-Mons. Ce 16 juin, elle s’adressait au grand public venu découvrir le site à l’occasion des Journées nationales de l’Agriculture. 

Le développement de cette plante pérenne date des années 2000, sous l’impulsion notamment de l’association nationale France miscanthus et du privé Novabiom, presque en même temps que le programme de recherche de l’Inrae. Entre 2015 et 2023, les surfaces françaises ont plus que doublé, passant de près de 4 000 à 11 000 hectares, et le nombre d’exploitations produisant du miscanthus a doublé aussi, passant de près de 1 000 à plus de 2 000.

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