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Noriap : une année de confirmations

Le groupe avance dans son plan d’action, montrant sa capacité à construire de la valeur ajoutée au service de ses adhérents.

J.-F. Gaffet, président de Noriap : «des stratégies partenariales».
J.-F. Gaffet, président de Noriap : «des stratégies partenariales».
© AAP

C’est dans un amphithéâtre comble à Amiens Mégacité que Noriap a tenu le 13 décembre dernier sa réunion d’information concluant le cycle des assemblées de section. Jean-François Gaffet et Martin Migonney, président et directeur général de Noriap, ont retracé les faits marquants de la coopérative au cours de l’exercice écoulée, et les ont inscrits dans une perspective à moyen et long terme.

Confirmation de la performance
L’année 2011-2012 a vu le groupe réaliser une collecte de 1 174 000 tonnes, dont 76% de ces volumes étaient réalisés en blé. Sur cette production, le groupe commercialise notamment à 51% vers l’amidonnerie, 27% vers la meunerie et 12% vers le portuaire. Le prix moyen en blé de qualité s’est établi à 185 €/T.

Confirmation des partenariats
L’exercice clos a également confirmé les stratégies partenariales annoncées l’an dernier. Et de citer Cobalyo (activités de distribution professionnelle des groupe Noriap et Axereal), Sillage (union de commercialisation Noriap – Cap Seine – Capsom – Coop de Luneray), Seliance (union de semences Noriap – CapSeine), Yseo (union Noriap – Sodiaal Nord pour l’approvisionnement et les services en élevage) ; chacun de ces partenariats connaissant pour l’heure une pertinence et une rentabilité au moins conforme aux prévisions.

Confirmation des investissements
Après l’inauguration du silo de Fleury et la mise en chantier du nouveau siège de la coopérative, le groupe annonce le déploiement d’un plan d’investissement de 70 millions d’euros sur quinze ans pour moderniser et adapter la structure de collecte de la coopérative sur son territoire. Ainsi, un nouveau silo d’une capacité de 30 000 tonnes sera opérationnel en 2013 à Hautvillers Ouville, avant d’envisager l’acheminement d’une deuxième tranche à Fleury en 2014. D’autres investissements verront le jour par la suite.
Si chaque participant a pu mesurer l’avancement du groupe dans son plan d’action, cela mettait d’autant plus en lumière deux éléments forts et pouvant servir de repère dans un contexte économique général compliqué : l’organisation économique et humaine des systèmes coopératifs et sa capacité à construire de la valeur ajoutée concrète au service de ses adhérents et des territoires.
Un préambule motivant avant l’intervention de Christian Saint Etienne.

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