Betteraves
Pour les betteraviers, la transition vers l’agriculture de régénération doit être cadrée
Lors de son assemblée générale mi-mai, la CGB de la Somme a rappelé sa vigilance vis-à-vis des initiatives prônant l’agriculture de régénération et la réduction de l’empreinte carbone de l’agriculture.
Lors de son assemblée générale mi-mai, la CGB de la Somme a rappelé sa vigilance vis-à-vis des initiatives prônant l’agriculture de régénération et la réduction de l’empreinte carbone de l’agriculture.

Le sujet n’éclipse pas (encore) le prix de la betterave ni la rémunération des planteurs, mais il tend à prendre de plus en plus d’importance dans les réunions de producteurs de betteraves et l’assemblée générale de la CGB Somme qui s’est tenue mi-mai à Amiens l’a confirmé. Ce sujet, c’est celui de l’agriculture de régénération et l’empreinte carbone de l’agriculture. Derrière ces mots, il s’agit de s’intéresser à la manière dont l’agriculture peut être plus durable, mais aussi de regarder les incidences pour les agriculteurs tentés par l’agriculture de régénération au travers de programmes dédiés. «Le rôle de la CGB étant de défendre les intérêts des planteurs de betteraves, on ne peut pas passer à côté de ce type de réflexion», expliquaient il y a quelques semaines les responsables de la CGB Somme.
Des initiatives multiples