Technique
Un bon régleur de semoir est un bon agronome
La technologie ne compense pas les compétences agronomiques de l’agriculteur. C’est le message qu’a fait passer Julien Hérault, conseiller en agroéquipement, lors de la journée «maîtriser son semoir» qu’organisait la société de conseil Novalis Terra au lycée du Paraclet, le 21 mai.
La technologie ne compense pas les compétences agronomiques de l’agriculteur. C’est le message qu’a fait passer Julien Hérault, conseiller en agroéquipement, lors de la journée «maîtriser son semoir» qu’organisait la société de conseil Novalis Terra au lycée du Paraclet, le 21 mai.

«La meilleure compétence pour régler le semoir, c’est l’agriculteur, les genoux par terre, qui observe le sol qu’il connaît bien», assure Julien Hérault. Ce 21 mai, le conseiller en agroéquipement était l’un des intervenants de la journée «maîtriser son semoir» qu’organisait la société de conseil Novalis Terra. Pour lui, «on a beau avoir un semoir dernier cri, la technologie ne compensera jamais les compétences agronomiques».
La technologie, cependant, est un sacré coup de pouce pour qui sait s’en servir à bon escient. Mais le semoir parfait n’existe pas. «Celui qui conviendra à l’agriculteur voisin ne vous conviendra peut-être pas à vous, car vous n’avez pas les mêmes besoins, les mêmes terres…»