Céréales
Comment Sana Terra appréhende sa moisson d’automne
Le maïs grain a beau ne représenter que quelques pourcents de la collecte céréalière de la coopérative Sana Terra, les équipes de cette dernière ne ménagent pas leurs efforts pour la valoriser au mieux.
Le maïs grain a beau ne représenter que quelques pourcents de la collecte céréalière de la coopérative Sana Terra, les équipes de cette dernière ne ménagent pas leurs efforts pour la valoriser au mieux.
![Le séchoir de Sana Terra est en ce moment utilisé au séchage du maïs grain. À l’intérieur, la température de 55° permet d’abaisser l’humidité des grains entre 14 et 15 %.](https://medias.reussir.fr/action-agricole-picarde/styles/normal_size/azblob/2023-11/actu_-_sana_terra_et_le_mais_2_ok.jpg?itok=AR7wzN47)
![Jean-François Florin, directeur de Sana Terra et Louis Durlin, responsable d’exploitation, devant le maïs grain fraîchement récolté.](https://medias.reussir.fr/action-agricole-picarde/styles/normal_size/azblob/2023-11/actu_-_sana_terra_et_le_mais_1_ok.jpg?itok=q3WQ51Te)
Dans la cour du silo de la coopérative Sana Terra à Rosières-en-Santerre, la couleur du tas qui s’étale sur le béton est de la même couleur que le blé collecté il y a quelques semaines, mais c’est bien de maïs dont il s’agit à cette période de l’année. Le silo de Rosières-en-Santerre est en effet celui où tous les volumes de maïs grain récoltés par les adhérents de la coopérative – environ 700 hectares – vont être acheminés pour être triés, puis séchés et expédiés. Cette collecte, elle a démarré le 18 octobre dernier dans une dizaine de silos de Sana Terra sur les seize que compte la coopérative et devrait s’achever dans les derniers jours de novembre.
Promis à un bel avenir