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Filière œufs
«Si Noriap n’avait pas été là, Cocorette n’existerait plus»

À l’issue de l’exercice 2022-2023, Cocorette, filiale de la coopérative Noriap spécialisée dans la production d’œufs dégage un résultat positif qui participe aux bons résultats de sa maison-mère. De quoi rendre fiers les responsables de Noriap et d’envisager un développement.

Il y a quelques jours, à l'occasion des quarante ans de la marque Cocorette avec ses salariés, Damien François, accompagné  de Stéphane Gourguechon, David Saelens et Luc Vermersch, a rappelé les quatre défis pour l'année 2024 : renforcer  la marque, fédérer les producteurs avec une OP et développer de nouveaux élevages, investir dans l’atelier de Poullan-sur-Mer  et relocaliser le stockage des emballages.
Il y a quelques jours, à l'occasion des quarante ans de la marque Cocorette avec ses salariés, Damien François, accompagné de Stéphane Gourguechon, David Saelens et Luc Vermersch, a rappelé les quatre défis pour l'année 2024 : renforcer la marque, fédérer les producteurs avec une OP et développer de nouveaux élevages, investir dans l’atelier de Poullan-sur-Mer et relocaliser le stockage des emballages.
© Noriap

De l’aveu du président de la coopérative et du groupe Noriap, David Saelens, «les filiales sont toujours un sujet de discussion…» Et ce, quelle que soit leurs résultats. Pour Cocorette, l’exercice 2022-2023 est celui du retour à la profitabilité. Auparavant déficitaire, la société de conditionnement d’œufs va mieux grâce à un plan de réorganisation qui doit désormais inspirer la remise à flots d’une autre filiale, Somat (machinisme). Elle dégage un résultat positif de 1,833 million d’euros. Un soulagement qui est le résultat d’une «reprise en main» de la filiale, comme l’ont expliqué le directeur de Noriap, Damien François et David Saelens au cours de l’assemblée générale de la section «Flandres» de Noriap le 28 novembre à Tilques (62). «Lors de l’exercice précédent, rappelait M.

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